04/03/15 Revue de presse

La memoire cellulaire : Se délier du passé pour se relier à soi même

Présentation d’un article par Guillemette Lepelletier paru dans le journal « Grandir autrement » du mois de septembre / octobre 2014 traitant du travail effectué en Mémoire Cellulaire :

Pour lire l’article cliquez ici

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06/07/14 Revue de presse

Exceptionnelle leçon de vie

Un jour, une femme a aperçu un mendiant, assis sur un trottoir dans la rue..
Elle s’est approchée de lui et comme le pauvre est déjà habitué à être humilié par tous, il l’a ignorée..
Un policier, observant la scène, s’est approché :
– il vous importune ?
Elle a répondu :
– d’aucunes façons, j’essaye de l’emmener jusqu’à ce restaurant, parce que je vois qu’il a faim et il est même sans forces pour se lever. Vous, la Police m’aideriez-vous à l’emmener jusqu’au restaurant ?
Rapidement, le policier aida le pauvre homme qui n’en croyait pas ses yeux.
En arrivant au restaurant, le serveur, qui est allé les aider, dit sans aucune réaction :
– excuser moi Madame, mais il ne peut pas rester ici. Il va faire peur à mes clients!!!
La femme vexée, a soulevé les yeux et dit :
– vous savez que l’énorme entreprise-là en face, trois fois par semaine, leurs directeurs viennent ici avec des clients faire des réunions dans ce restaurant ! Et je sais combien d’argent ils vous laissent ici, et c’est ce qui maintient ce restaurant. Et je le sais, car, je suis la patronne de cette entreprise. Alors je peux rester ici manger avec mon ami, oui ou non ?
Le serveur fit un signe positif de la tête et le policier qui observa la scène, en fut stupéfié, et le pauvre homme, très ému à ce moment-là, laissa couler une larme.
Quand le serveur recula, l’homme demanda :
– merci Madame, mais je ne comprends pas ce geste de bonté.
Elle lui prit les mains et lui dit :
– tu ne te rappelles pas de moi, Jean ?
– votre visage me dit quelque chose en effet – Répondit-il – mais je ne me souviens pas d’où.
Elle, les larmes aux yeux, lui dit:
– Il y a un certains temps, moi à peine formée, je suis arrivée dans cette ville… Sans aucun argent en poche… j’avais très faim, je me suis assise à cette place car j’avais un entretien d’embauche dans cette entreprise en face, qui aujourd’hui est mienne. Quand s’est approché de moi, un homme, avec un regard généreux. Tu te rappelles maintenant Jean ?
En larmes, il affirma que oui.
– À ce moment-là, vous travailliez ici. Ce jour-là, j’ai fait le meilleur repas de ma vie, parce que j’étais très affamé, et même sans forces. Chaque minute, je vous regardais, parce que j’avais peur de vous nuire. J’étais là à manger gratuitement. Et quand vous preniez de l’argent de votre poche et le mettiez dans la boîte du restaurant, j’ai été abasourdie. Et je savais qu’un jour, je vous rendrais l’appareil. J’ai mangé et je suis allé avec plus de forces à mon entretien. À ce moment-là, l’entreprise était toute petite … J’ai été acceptée à l’entretien. Je me suis spécialisée. J’ai gagné beaucoup d’argent et puis j’ai fini par racheter quelques actions de l’entreprise et finalement, je suis devenue la patronne. J’ai fait de l’entreprise ce qu’elle est aujourd’hui. Je vous ai recherché sans jamais vous retrouver… Jusqu’à aujourd’hui. Je vous vois dans cette situation. À partir d’aujourd’hui, vous ne dormirez plus dans la rue ! Vous venez chez moi ce soir… Demain, nous achèterons de nouveaux vêtements et vous travaillerez avec moi ! Ensuite, nous chercherons un logement pour vous.
Ils se sont pris dans les bras, en train de pleurer.
Le policier, le serveur et les autres personnes voyant la scène, ont été ébahis en raison de la grande leçon de vie, dont ils venaient d’être témoins!!!

Moralité de l’histoire :
Aujourd’hui, c’est moi qui suis dans le besoin … Demain, ça peut être, toi !
Fait toujours le bien … Et peut être qu’un jour, il reviendra en double pour toi. — avec Serigne Mansour Gueye.

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06/06/14 Revue de presse

Meriem, l’histoire d’une sortie de route

Une sortie de route alors qu’elle se rend chez sa grand-mère et la vie de Meriem bascule. L’accident est sans gravité, mais l’idée de reprendre le volant la panique. Pour guérir de sa phobie, la jeune femme, qui exerce le métier de clown et doit partir en tournée, commence une thérapie. Ce voyage intérieur va la mener à un secret de famille…

Lisez la suite dans l’article de Valérie Peronnet sur le site de Psychologie Magazine.

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06/06/14 Revue de presse

Parution : «Si mon corps m’était conté»

Histoire de la biorésonance cellulaire

Notre corps garde en lui les mémoires enfouies des souffrances qui ont jalonné notre existence depuis l’origine, mais aussi celles de nos parents et ancêtres. Imprégnées dans nos cellules, ces mémoires rejaillissent lors de périodes-clés de nos vies et peuvent être la cause de schémas répétitifs, parfois douloureux.

Grâce à un véritable dialogue corps-conscience, la méthode de la biorésonance cellulaire permet de recueillir les informations ancrées en nous afin de repérer et décoder les traumatismes du passé pour les faire remonter à la conscience et les laisser s’exprimer.

Le corps retrouve alors la parole, le message est délivré, et les traumatismes subis, directement ou indirectement, trouvent un sens. Dès lors, les secrets de famille sont abolis, le projet-sens se fait jour, la transformation peut s’opérer pour nous permettre d’atteindre un mieux-être physique et psychique, reprendre les rênes de notre vie et accéder à une liberté totale.

Plaquette du livre

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